affkir hassan Admin
عدد المساهمات : 62 نقاط : 299 السٌّمعَة : 0 تاريخ التسجيل : 25/03/2010 العمر : 65 الموقع : المغرب-الرشيدية
| موضوع: Divers leçons de la langue française الأربعاء مايو 12, 2010 4:42 pm | |
| Le verbe est le noyau de la phrase.Le verbe peut exprimer soit une action, soit un état : Les enfants courent dans le pré. courent est le verbe (conjugué).Courir est un verbe d'action. Je parais grand. parais est le verbe (conjugué). Paraître est un verbe d'état.Il est important de bien savoir différencier les verbes d'action (sauter, dormir, courir, venir, aller, prendre, etc...) des verbes d'état (être, paraître, sembler, etc...). Astuce Un verbe d'état peut toujours se remplacer par le verbe être. Je parais grand Je suis grand. Les verbes qui ne peuvent pas avoir de complément d'objet sont appelés verbes intransitifs. Les verbes qui expriment un état (verbes d'état) sont toujours intransitifs Les enfantscourent dans le pré. Je dorsla nuit. couriret dormir ne peuvent pas avoir de complément d'objet. On ne peut pas courir quelque chose ou dormir quelque chose! courir etdormir sont des verbes intransitifs. Les verbes qui peuvent avoir un complément d'objet sont appelés verbes transitifs direct (s'il s'agit d'un COD Je lis un livre. lire peut avoir un complément d'objet direct. lire est donc un verbe transitif. |
Utilisation de l'indicatif Le mode indicatif s'utilise partout où on peut exprimer le réel. Il n'y a pas de place au doute ou à l'incertitude. Pour cela, on préfère utiliser le conditionnel ou le subjonctif. On a quatre temps simples à l'indicatif (le présent, l'imparfait, le passé simple et le futur simple) et quatre temps composés (passé composé, plus-que-parfait, le passé antérieur et le futur antérieur) qui permettent d'exprimer les actions présentes, les actions passées ou les actions à venir. L'indicatif est le temps qui permet de saisir les faits, les actes, les opinions ou les pensées dans leur réalisation. Il s'agit de loin du mode le plus utilisé dans les besoins de la conversation courante. Il est également le mode des phrases négatives et interrogatives. Même dans une proposition subordonnée après "que", on peut retrouver l'indicatif s'il s'agit d'une action certaine. Dès qu'on introduit le doute ou la notion de probabilité, on utilise le subjonctif. L'exemple suivant illustre ceci : il est probable qu'il viendra. (indicatif) il est possible qu'il vienne. (subjonctif) On remarquera cependant que dans la langue parlée, on utilise de plus en plus le subjonctif après le "après que" ce qui n'est pas forcément juste puisque l'action est déjà terminée donc réelle. On peut également noter que lorsqu'une proposition est complètement fausse ou irréelle et que cela ne laisse plus aucun doute, on utilise l'indicatif à nouveau pour exprimer une réalité : Il s'est mis en tête qu'elle viendra le voir.
| ********************************************************** être au présent de l'indicatifIndicatif
Présent
je suis tu es il/elle est nous sommes vous êtes ils/elles sont
Imparfait
j'étais tu étais il/elle était nous étions vous étiez ils/elles étaient
Passé simple
je fus tu fus il/elle fut nous fûmes vous fûtes ils/elles furent
Futur
je serai tu seras il/elle sera nous serons vous serez ils/elles seront ********************************************************** Avoir au présent de l'indicatif
Présent
j'ai tu as il/elle a nous avons vous avez ils/elles ont
Imparfait
j'avais tu avais il/elle avait nous avions vous aviez ils/elles avaient
Passé simple
j'eus tu eus il/elle eut nous eûmes vous eûtes ils/elles eurent
Futur
j'aurai tu auras il/elle aura nous aurons vous aurez ils/elles auront ********************************************************** Accord du participe passé Règle 1 .Le participe passé employé seul (sans auxiliaire) ------------------------------------------------------------------------- Il s'accorde avec le nom auquel il se rapporte. Pour trouver ce nom, on pose la question « Qui est-ce qui? »Ex.: Arrivées à Québec, elles arrêtèrent pour se restaurer. (Qui est-ce qui est arrivé? Elles. Donc «arrivées» s'accorde avec «elles».)Ces coureurs ont terminé le marathon, épuisés, fourbus, à bout de souffle. (Qui est-ce qui est épuisé et fourbu? Les coureurs. Donc «épuisés» et «fourbus» s'accordent avec «coureurs».) Règle 2 . Les participes passés employés seuls qui font exception --------------------------------------------------------------------- Certains participes comme attendu, entendu, excepté, passé, supposé, vu, y compris, non compris, ci-joint, ci-annexé, ci-inclus restent invariables lorsqu'ils sont placés devant le nom ou le pronom.Ex.: Excepté Henriel et Marie, tous étaient là. Marie et Henriel exceptés, tous étaient là. Vous trouverez ci-joint deux copies de mon bulletin. Règle 3 . Le participe passé employé avec ÊTRE -------------------------------------------------------------------- Il s'accorde avec le sujet. Pour trouver le sujet, on pose les questions «qui est-ce qui» ou «qu'est-ce qui?» devant le verbe.Ex.: La pluie est tombée tout le jour. (Qu'est-ce qui est tombé? La pluie. «Tombée» s'accorde avec «pluie».)Vous serez admirés de tous. (Qui est-ce qui sera admiré? Vous. «Admirés» s'accorde avec «vous».)Ces deux défenseurs ont été très rarement déjoués durant cette partie. (Qui est-ce qui a été déjoué? Les défenseurs. «Déjoués» s'accorde avec «défenseurs».) Règle 4 .Le participe passé avec AVOIR ------------------------------------------------------------------- Il s'accorde avec le complément d'objet direct (c. o. d.) si ce dernier est placé devant. Sinon, il reste invariable. Pour trouver le c. o. d., on pose les questions «qui?» ou «quoi?» après le verbe.Ex.: Josée et Nathalie ont fait d'énormes progrès. (Elles ont fait quoi? D'énormes progrès. Le c. o. d. est donc placé après et «fait» reste invariable.)Les pommes que Sylvain a cueillies étaient très mûres. (Sylvain a cueilli quoi? Les pommes. «Cueillies» s'accorde avec «pommes».)Est-ce vous qui les avez semées, ces belles tulipes? Vous avez semé quoi? Les mis pour tulipes. Le c. o. d. est donc devant et «semées» s'accorde avec «les» mis pour «tulipes».) Règle 5 Le participe passé avec AVOIR suivi d'un infinitif ------------------------------------------------------------------------ Il s'accorde avec le c. o. d. si celui-ci est placé devant et s'il peut faire l'action exprimée par l'infinitif. Sinon, c'est le verbe à l'infinitif qui est c. o. d. et le participe reste invariable. Exception: Fait reste toujours invariable quand il est suivi d'un infinitif.Ex.: La chanson que j'ai entendu chanter était mélodieuse. (J'ai entendu quoi? La chanson. Est-ce qu'une chanson peut chanter? Non. Donc «entendu» est invariable.)Les garçons que j'ai entendus chanter étaient très jeunes. (J'ai entendu qui? Les garçons. Est-ce que les garçons peuvent chanter? Oui. Donc «entendus» s'accorde avec «garçons».)Vous auriez dû écouter. (Vous auriez dû quoi? Écouter. Il n'y a pas de c. o. d. autre que l'infinitif, donc «dû» reste invariable.)
Règle 6. Le participe passé des verbes intransitifs ------------------------------------------------------------------- Les participes passés couru, coûté, pesé, valu, vécu restent invariables quand ils sont employés au sens propre. Au sens figuré, ils s'accordent. Ex.: Les douze dollars que m'a coûté ce livre furent bien employés. (Ce livre m'a coûté combien? Douze dollars. «Dollars» n'est pas un c. o. d. De plus, «coûté» est employé au sens propre, donc il reste invariable.) Les efforts que m'a coûtés ce travail ont porté fruit. (Ce travail m'a coûté quoi? Des efforts. «Coûtés» s'accorde avec son c. o. d. «efforts». Règle7.Le participe passé précédé de « l’ » -------------------------------------------------------------------------- Si le « l’ » remplace toute une proposition, il reste invariable. Autrement, il suit la règle des participes passés employés avec avoir. Ex.: Il a fait beau comme je l'avais prédit. (J'avais prédit quoi? «l'« mis pour «qu'il ferait beau». «Prédit» est donc invariable.) Cette jolie dame, je l'ai attendue longtemps. (J'ai attendu qui? «l'« mis pour «dame». «Attendue» s'accorde avec «l'« mis pour «dame».)
********************************************************** La phrase Une phrase est une unité qui a sa propre autonomie syntaxique : elle ne dépend d'un point de vue grammatical d'aucune autre unité. a) Nous vous communiquerons tous les détails nécessaires à la constitution du dossier. b) Viens et regarde. c) Après plusieurs jours passés à la campagne, il est venu nous rejoindre dans le chalet que nous avaient prêté mes parents. À l'écrit, la phrase se reconnaît par ses limites : à gauche, une majuscule et à droite, un point. Le point peut être remplacé par un autre signe de ponctuation (point d'interrogation, d'exclamation, point-virgule…). Phrase simple et phrase complexe On appelle phrase simple une phrase qui comporte une seule proposition et phrase complexe une phrase qui en comporte plusieurs. La phrase (a) est une phrase simple, les phrases (b) et (c) sont des phrases complexes. Dans la phrase (b), les deux propositions sont coordonnées par et. On peut alors considérer qu'il s'agit en fait de deux phrases simples et réserver l'appellation de phrase complexe aux phrases de type (c) contenant une ou plusieurs propositions subordonnées. Phrase verbale et phrase averbale On appelle phrase averbale une phrase qui ne contient pas de verbe principal. Attention à la marche ! Bienheureux les pauvres en esprit. Une phrase averbale peut contenir un verbe, mais c'est le verbe d'une proposition subordonnée. Bienheureux celui qui connaît une telle expérience (connaît est le verbe de la proposition subordonnée relative qui connaît une telle expérience ; la phrase pourrait se réduire à bienheureux celui-là). ********************************************************** Le GNs détermine l'accord du Groupe Verbal (GV).
Le GNs est le mot ou les mots qui désignent l'être qui fait ou subit l'action ou qui est dans l'état qu'indique le GV.
Le GNs est non effaçable et détachable par C'EST...QUI, CE SONT...QUI.
Il est pronominalisable (peut être remplacé par un pronom).
GNs GV Le chat ronronne.
C'EST le chat QUI ronronne.
B) Construction du GNs
On ne trouve comme GNs qu'un nom, un groupe de noms ou son équivalent:
1. un GN (pronom)
GNs GV GCP Nous discuterons plus tard.
2. un GN (nom)
GNs GV Le pourquoi de cette action est un mystère.
GNs GV Marie reviendra demain matin.
3. un GInf (verbe à l'infinitif)
GNs GInf GV Trop danser est épuisant.
4. une P2sub
GNs P GV Qui veut peut.
C) Place du GNs
1. Le GNs se trouve généralement AVANT le GV.
GNs GV Monique et Réjean défendent leur point de vue.
2. Toutefois, dans de nombreux cas, il est rejeté APRÈS le GV.
GCP GV GNs Depuis ce matin règne l'harmonie. *********************************************** LE GROUPE VERBAL Le Groupe Verbal est un syntagme verbal dont le noyau est constitué d'un verbe. Tu vas me demander ce que le mot syntagme mange en hiver. C'est une langue de bois utilisée par les grammairiens pour dire tout simplement que ce sont plusieurs mots qui veulent dire la même chose et qui font aussi la même chose. Vulgariser plus que cela, tu meurs.
Voici les différentes constructions du Groupe Verbal :
1. complément du verbe sous forme de GN
V + GN La mer roule ses grosses vagues. (CD)
V + GN Cette auto a coûté vingt mille dollars. (CI)
2. complément du verbe sous forme de GPrép
V + GPrép Le bateau s'approcha de la plage déserte.
3. complément du verbe sous forme de GAdj
V + GAdj Ces enfants paraissaient tristes.
4. complément du verbe sous forme de GAdv
V + GAdv Ces animaux de ferme mangent avidement.
5. complément du verbe sous forme de phrase (P)
V + Psub Marie comprit / que / son voyage en Europe serait intéressant. [/b][/b] [/justify]
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